Naryn

L'Anarkul Apa Café

Hôtel Ala-Tou. Tombe en ruine, mais on lui a trouvé un certain charme. On peut encore y louer une chambre.

Notre première impression en arrivant à Naryn n'a pas été bonne, et ce sentiment ne s'est pas démenti. La ville est finalement plus moderne que beaucoup d'autres. Une vraie route traverse ville, bordée de trottoirs et de maisons imposantes et en bon état.  Mais il y règne une ambiance déprimante… Cela tient sans doute à l'absence de centre et à cette route principale autour de laquelle s'articule la ville. Une ville qui s'étire dans la longueur… Le marché, plutôt pas désagréable, est comme caché dans un coin excentré et prive Naryn de son animation.

Nous nous sommes adressés au CBT en arrivant et la jeune femme n'était pas franchement dynamique. Elle a d'abord voulu nous loger dans un immeuble très glauque… Nous lui avons demandé plutôt une maison. Elle nous en a trouvé une, un peu excentrée, à l'entrée de Naryn. La chambre était spacieuse (et peuplée de scarabées et de cafards…), mais la dame bien désagréable et le petit-déjeuner très léger : pour la première fois il ne nous a d'ailleurs pas été servi de pain ce qui contraire à la tradition du pays.  

Où dormir à Naryn :

pas de bonnes adresses à conseiller, mais évitez de vous adresser au CBT pour trouver un logement et préférez l''agence voisine, Kubat Tour, montée par un sympathique couple. Kubat a longtemps travaillé pour le CBT mais l'a quitté, écœuré par le fait que les coordinateurs du CBT de Naryn achètent des appartements pour y loger les touristes plutôt que dans les chambres d'hôtes tenues par la population locale.

Kubat Tour organise aussi des treks sur mesure! nous le recommandons chaleureusement.

Où diner à Naryn :

Les bonnes adresses ne se bousculent pas. Nous avons bien apprécié le premier restaurant dans lequel nous avons déjeuné et nous y avons donc fait tous nos repas. Le cadre de l'Anarkul Apa Café est un brin froid, mais la cuisine est bonne.